L’Écume des jours est un conte de fées distordu.

Aujourd’hui, nous nous rendons compte que ce que nous avons aimé dans le roman de Boris Vian est dans le film de Charles Belmont : l’atmosphère, les couleurs, les costumes, les amours de jeunesse. Charles Belmont a vraiment capté l’esprit de Boris Vian et les deux œuvres nous laissent toujours dans un étrange état de souffrance.

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